Ma semaine à Sacré Coeur

Bulletin paroissial d’Informations du 13 au 19 Juin 2021 n°189

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Ma semaine à Sacré Coeur

Bulletin paroissial d’Informations du 06 au 12 Juin 2021 n°188

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Ma semaine à Sacré Coeur

Bulletin paroissial d’Informations du 30 Mai au 05 Juin 2021 n°187

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Ma semaine à Sacré Coeur

Bulletin paroissial d’Informations du 23 au 29 Mai 2021 n°186

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Nous continuons à vivre en situation de confinement. Certaines personnes ont repris timidement leur travail. Nos frères et sœurs circulent dans les rues de la Gombe, transportant leurs étalages, en  vendant ça et là, pas pour nouer les deux bouts du mois, mais pour avoir quelque chose à mettre sous la dent. Comme nous le savons, bon nombre de Kinois travaillent, non pour nouer les deux bouts du mois, mais pour la survie.

Par ailleurs, certains policiers ont tendu des pièges pour arrêter des gens qu’ils croisent sur leur chemin. Ils les rançonnent avant de les libérer. Qui nous libérera de cette situation ? Et le Seigneur nous pose cette question : « Qu’as-tu fait de ton baptême ? »

Pour les apôtres d’Inye, les travaux continuent : nous avons fabriqué 7.450 blocs de briques. La construction du sanctuaire évolue à son rythme. Nous y allons chaque semaine pour évaluer le rendement de nos maçons et briquetiers.

Notre partage de la semaine s’oriente vers l’avenir de l’Eglise en Afrique, en général, et de la RDCongo, en particulier.

Beaucoup de nos églises ont été construites par des vaillants missionnaires venus d’Europe. Ces derniers se sont donnés corps et  âme pour que nous  puissions avoir de beaux patrimoines : Des églises, des écoles, des centres de santé et de formation, etc.

Nous éprouvons de la joie en regardant tous ces édifices. Cela doit nous pousser à nous interroger sur notre propre engagement dans la prise en charge de notre Eglise.

Il est intéressant que nous puissions nous poser ces questions : Qui a construit notre église paroissiale, notre école, notre centre de santé, notre Lycée, notre collège, etc. ? Et nous, qu’avons-nous fait jusqu’à maintenant ? Nous jouissons tous des fruits laissés par les missionnaires, C’est bien. Cependant, l’heure a sonné pour que nous pensions à la postérité. Qu’allons-nous léguer aux générations futures ?

En dehors des retraites et des récollections qui s’organisent à différents niveaux, avons-nous l’habitude de visiter d’autres paroisses ?

A l’exemple de l’église de Jérusalem, qui, au début était repliée sur elle-même, nous nous sommes installés dans nos paroisses. Grâce à la persécution, cette église a pu s’ouvrir au monde. Le chrétien ou la paroisse qui se replie sur elle-même risque de ne pas percevoir la manifestation de Dieu. Des fois, nous croyons que tout est déjà fait. C’est la raison pour laquelle beaucoup ont croisé les bras. Le point culminant de l’évangélisation n’est pas encore atteint. Pour utiliser le mot du Pape François, nous sommes appelés à accomplir un exode, c’est-à-dire à sortir de nos paroisses, de nos milieux pour nous rendre compte de ce qui se fait ou ne se fait pas ailleurs afin de repartir, pas seul, mais avec le Christ.

 

Aujourd’hui, la conscience missionnaire est en somnolence. Réveillons-nous pour mettre à l’œuvre tous les talents reçus de Dieu… La mission de l’Eglise est d’éveiller et de réveiller le peuple vers le progrès. Et le grand moyen pour y arriver, c’est le changement de mentalité qu’apporte la formation. La force d’une personne, c’est la puissance qu’elle a d’aimer un autre homme et de le voir grandir dans la foi. L’Eglise est appelée à éduquer et à former  l’homme. Un homme bien formé apporte les moyens pour élever le monde. Car toute âme qui s’élève, élève aussi le monde.

Dans nos églises d’Afrique, on évoque souvent le manque de moyens comme frein à l’annonce de la Bonne Nouvelle. Lorsque l’accent est mis sur le matériel, l’homme perd toute sa dignité et oublie que la mission est l’œuvre de Dieu. Pensons aux apôtres : Pierre, Etienne, Philippe, Paul, etc. De quel grand moyen disposaient-ils pour se mettre en route afin d’aller prêcher la Bonne Nouvelle ? La réponse est très simple : leur foi, comme moyen spirituel. La foi en Jésus ressuscité fut leur leitmotiv.

« Toutefois, le développement d’un peuple ne vient pas d’abord de l’argent, ni des aides matérielles, ni des structures techniques, mais bien plutôt de la formation des consciences, du mûrissement des mentalités et des comportements. » (R.M., n° 58. 4).

L’homme comme sujet de l’Evangélisation doit occuper une place de choix. Former le chrétien à la conscience missionnaire est un appel pressant pour l’Eglise aujourd’hui.

 

La pandémie de la Covid-19 sert de leçon à tout le monde sans exception. Devons-nous continuer à attendre les Pères européens pour avoir un centre de santé, une école, un collège, un atelier de menuiserie ou de coupe et couture ? Nous sommes des missionnaires dans notre propre pays. Nous devons trouver le nécessaire pour que la Bonne Nouvelle parvienne jusqu’aux extrémités de la terre. Ne nous limitons pas à regarder nos églises comme ces Galiléens qui regardaient Jésus monter au ciel, mais mettons-nous à construire l’Eglise.

Nous, Congolais, nous pouvons nous inspirer de Kimbanguistes qui construisent eux-mêmes leurs écoles, centres de santé et autres.

En nous lançant  dans le projet Inye, nous voulons promouvoir l’esprit missionnaire universel au sein du peuple de Dieu de l’église de Kinshasa. L’éducation à la mission doit commencer dès le bas âge. Qui doit donner ? C’est tout chrétien, sans distinction. Combien ? Chacun selon ce qu’il reçoit de Dieu. Ne faisons pas gâfe, pensons à Ananie et Saphire.

Notre devise nous accompagne toujours : « Donner n’appauvrit pas. Garder n’enrichit pas. »

Ensemble, avançons au large et consacrons notre pays et notre Eglise aux deux Cœurs Sacrés (Sacré-Cœur de Jésus et Cœur Immaculé de Marie).

Désigné dans les prophéties de Ta Parole Seigneur, nous savons, nous sommes confiants et nous croyons que le Triomphe de Ton Sacré Cœur et du Cœur Immaculé de Marie est dans un proche avenir.

Aussi, nous venons humblement nous consacrer nous-mêmes, nos familles, notre Pays, la RDC, et notre Eglise, à Vos Deux Cœurs Sacrés.

Nous croyons qu’en Vous consacrant notre Pays et notre Eglise, l’épée ne sera plus levée nation contre nation et qu’il n’y aura plus de préparatifs de guerre.

Nous croyons qu’en consacrant notre Pays et notre Eglise, à Vos Deux Cœurs aimants, toute arrogance et tout orgueil humains, toute impiété et toute dureté de cœur seront effacés, et que tout mal sera remplacé par l’amour et par de bonnes choses.

Nous croyons que Vos Deux Cœurs Saints maintenant ne résisteront pas à nos soupirs, à nos besoins, mais dans Leur Flamme Aimante, Ils nous entendront et viendront à nous pour guérir nos plaies profondes et nous apporter la paix.

O Sacré Cœur de Jésus et Cœur Immaculé de Marie, soufflez sur nous une étincelle de Vos Deux Cœurs pour enflammer notre cœur.

Faites de notre Pays, la RDC et de notre Eglise la Demeure parfaite de Votre Sainteté; demeurez en nous et nous en Vous afin qu’à travers l’Amour de Vos Deux Cœurs, nous trouvions la Paix, l’Unité et la Conversion.

Amen.

 

Crispin MBALA,sj.

Mois de mai, mois de Marie

Frères et sœurs, Shaloom !

 

C’est depuis le vendredi 01 mai 2020 que nous avons ouvert le mois marial. Et ce même jour, l’Eglise nous a conviés à célébrer la fête de Saint Joseph, le patron des travailleurs. En nous référant au psaume du jour, notre prière fut : « Rends fructueux, Seigneur, le travail de nos mains ». Ce mois de mai se termine par la fête de la Visitation. Mais comme cette année, elle tombe le dimanche, l’Eglise privilégie la fête de la Pentecôte.

A. Pourquoi le mois de mai est-il dit mois marial ? Le mois de mai est célébré comme le « mois de Marie ». Une petite histoire :

 

  1. Cette tradition ne remonte qu’au XVII è siècle. Venue de l’orient, cette pratique est répandue aussi bien en Orient qu’en Occident. Dans cet hémisphère, il fait nuit pendant huit mois, et le soleil luit pendant quatre mois.
  2. A partir du mois de madian vers le 15 avril, le soleil se pointait à l’horizon. Et les gens ne savaient pas que c’était le soleil. Pour les non-croyants, qui étaient animistes, c’était l’œil de dieu. Ils développaient la croyance sur les objets de la nature : la lune, le soleil, les étoiles, les astres, etc. Les croyants, avec leur foi en Dieu, étaient convaincus que c’était une visite de Dieu. Ils affirmaient avoir eu la visite de Dieu (Dieu vient nous visiter). D’où la fête de la visitation de Dieu.
  3. Quand le soleil apparaissait, tout le monde sortait, car c’était le printemps. Le soleil apportait la joie, la verdure, la fleur poussait, l’arbre donnait du fruit : c’était la période de la renaissance, de la fécondité.
  4. Pendant cette période, on rendait hommage aux filles en âge de se marier. Habillées de blanc, elles étaient solennellement fêtées. Et les jeunes garçons passaient pour choisir leurs futures épouses.
  5. Alors, comment les chrétiens ont-ils fait de cette pratique une fête ? Au moment où le soleil apparaissait, chacun priait son dieu. Pour les catholiques, le Dieu de Jésus-Christ, et pour les animistes, le dieu-soleil, le dieu-lune, etc. Et les chrétiens se sont posé la question : Et nous, qui allons-nous adorer ? Comme le Christ est la lumière du monde, le grand soleil, alors c’est Jésus qui vient nous visiter. Cela a suscité un grand débat entre les chrétiens. Leur raisonnement était le suivant : si nous prions Jésus comme Lumière du monde, ceci signifie que la petite lumière, c’est Marie. Et les prêtres sont arrivés à dire que Marie, qui est notre mère devait être insérée dans la liturgie. Marie est alors prise comme l’étoile du matin qui donne la grande lumière, Jésus Christ.
  6. Cela se comprend par cette prophétie d’Isaïe (7, 10- 16). « Le Seigneur envoya le prophète Isaïe dire au roi Acaz: «Demande pour toi un signe venant du Seigneur ton Dieu, demande-le au fond des vallées ou bien en haut sur les sommets. Acaz répondit: Non, je n’en demanderai pas, je ne mettrai pas le Seigneur à l’épreuve. Isaïe dit alors: Écoutez,maison de David! Il ne vous suffit donc pas de fatiguer les hommes: il faut encore que vous fatiguiez mon Dieu! Eh bien! Le Seigneur lui-même vous donnera un signe: Voici que la jeune femme est enceinte, elle enfantera un fils, et on l’appellera Emmanuel (c’est-à-dire: “Dieu-avec-nous”). De crème et de miel il se nourrira, et il saura rejeter le mal et choisir le bien. Avant même que cet enfant sache rejeter le mal et choisir le bien, elle sera abandonnée, la terre dont les deux rois te font trembler »
  7. Marie vient donc collaborer à la régénération de l’humanité. En elle, Dieu est venu visiter son peuple.
  8. Le mois de mai est celui du renouveau, de la végétation. La figure de la Vierge Marie peut, à cet égard, être reliée à celui de la nature et de la fécondité.

Pendant ce mois de mai, j’encourage tous les chrétiens à réciter le chapelet et le rosaire afin de demander l’intercession de la Très sainte Vierge Marie. La Vierge est toujours attentive comme à Cana. Pensons à la joie dont Marie fut porteuse lors de sa visite à Elisabeth. N’oublions pas les paroles de Jésus au pied de la croix : « Femme voici ton fils. Puis il dit au disciple : Voici ta mère » (Jn 19, 26- 27). Prions toujours Jésus par Marie, elle est notre mère.

B. Pour les brèves nouvelles de la paroisse :

Nous continuerons à célébrer les messes « privées » jusqu’au moment où les mesures des autorités seront levées pour reprendre nos activités habituelles. Pour les CEVB situées dans les parages de l’église paroissiale et les frères et sœurs qui passent par la ville, la grotte est là pour vous accueillir. Cette semaine, nous avons donné communion à deux familles : l’une de la Cevb Boyokani, et l’autre de Boboto.

Nous sommes de cœur avec : maman KOLA, membre du groupe Miséricorde divine qui a perdu son fils jumeau en Ukraine ; maman Thérèse KABULO hospitalisée à la Clinique Ngaliema ; maman Chantal PAY PAY bloquée à Lubumbashi. Avec le covid-19, la paroisse s’est occupée des chrétiens en leur apportant quelques vivres en vue de les soulager. Les policiers qui faisaient la garde sur le croisement des avenues Père Boka et Kisangani, ainsi que des étudiantes de l’ISP/Gombe ont bénéficié aussi de l’assistance de la paroisse.

Nous vous remercions pour vos marques d’attention à notre égard par vos appels téléphoniques, sms, mails, vos multiples soutiens pour que la paroisse suive son cour normal. Pour sa maintenance, une équipe de sept personnes travaille afin de garder un certain équilibre en attendant le déconfinement. A Inye, la fabrication des briques fait son chemin. Nous sommes au four et au moulin. Car nous ne pouvons compter que sur votre foi.

Mes frères et sœurs, la prise de conscience de notre mission dans le monde doit susciter en nous un éveil et un réveil pour bâtir ensemble l’Eglise de Dieu dans le monde, en général, et à Kinshasa, en particulier.

 « Sacré-Cœur don, Sacré-Cœur abandon, Sacré-Cœur pardon, Sacré-Cœur jusqu’aux extrémités de la terre. » « Donner n’appauvrit pas. Garder n’enrichit pas. »

Que Dieu vous bénisse et vous garde. Amen

 Crispin MBALA,sj

Presbytère du Sacré-Coeur

 

Père Curé

Chers Paroissiens, En ce jour où nous célébrons la fête de Saint Marc, le disciple, voici le texte de méditation nous proposée par le Père Curé. « Sacré-Coeur Don, Sacré-Coeur Pardon, Sacré-Coeur Abandon, Sacré-Coeur Jusqu’aux extrémités de la terre. »

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Père Curé

Chers Paroissiens du Sacré-Coeur,

En ce deuxième dimanche de Pâques (ou premier dimanche après Pâques), voici l’exhortation du Père Crispin Mbala, Curé de notre Paroisse.

En union de prières, daignons méditer ce texte et le partager, autant que possible,à tous les frères et sœurs de notre communauté paroissiale.

Bon Dimanche.

Cliquez ici pour lire l’intégralité du message du Père Curé

Pape François

[dropcap]Q[/dropcap]uestion : Sur quoi le Pape insiste-il particulièrement en ce temps fort de Carême 2020 ?

Père Gilbert Mambi, sj : Vous savez qu’à deux jours du Mercredi des Cendres, le Pape a rendu public son message pour le carême 2020 sur sa signification comme un «temps favorable» qui ne doit «jamais être tenu pour acquis», et pendant lequel les chrétiens sont invités à accueillir la miséricorde de Dieu offerte par le Mystère pascal. Le cœur renouvelé, il s’ouvre à la charité, contribuant « à la construction d’un monde plus équitable. C’est ainsi que ce message de 2020 porte le titre de « Nous vous en supplions au nom du Christ, laissez-vous réconcilier avec Dieu » (2Co 5, 20). Ainsi pour le Pape, la conversion est une urgence. Un autre mot clef du message du pape c’est le dialogue.

« La compassion, clé du dialogue avec Dieu et les autres. Le Pape nous invite à vivre « une relation d’ouverture et de dialogue fructueux avec Dieu et avec les autres. C’est le fruit de la prière lorsque, contemplant Jésus crucifié, « nous éprouvons de la compassion pour lui et, avec lui, pour toutes les personnes et situations de souffrance dans le monde et que nous les confions toutes à la miséricorde de Dieu.

Sous le signe du Rosaire, le Pape François confie le Carême 2020 des catholiques à la Vierge Marie en disant : « J’invoque l’intercession de la Très-Sainte Vierge Marie pour ce Carême, afin que nous accueillions l’appel à nous laisser réconcilier avec Dieu. »

C. Mbuyi

Père Curé

On rapporte souvent la belle histoire du célèbre peintre anglais Holman Hunt et son tableau du Christ qui frappe à la porte. On peut admirer ce tableau à l’Université d’Oxford.

Il achevait son tableau et voulait que certains de ses amis l’apprécient avant de l’exposer pour le grand public. Un de ses amis le prit à part :

  • « Holman, lui dit-il, tu as commis une fâcheuse erreur sur ton tableau».
  • Une erreur ? S’étonna le peintre, amusé.
  • Oui, il n’y a pas de poignée sur la porte…Comment pourrait-on accéder au jardin ?

Et Holman de répondre : « La porte représente le cœur de l’homme ». Le Christ frappe à cette porte. Mais pour qu’il entre, l’homme doit lui ouvrir de l’intérieur. En ce temps de Carême, Jésus attend de nous une multitude de petites choses pour qu’il puisse entrer et demeurer en nous. Ces petites choses gisent dans notre cœur, celui-ci étant le creuset de tous nos sentiments, nos émotions, nos décisions et nos actions. Du cœur peut jaillir l’amour ou la haine, la pitié ou l’indifférence, la vérité ou le mensonge, la bonté ou la méchanceté…

Le Christ ne peut pas entrer dans un cœur qui contient ce qui va à l’encontre de sa Parole et de ses enseignements.

Activons donc la poignée de l’amour qu’il y a dans nos cœurs pour qu’il puisse y trouver une place digne de Lui et en osmose avec ses enseignements et ses commandements. Le premier et le plus grand de ceux-ci est : Tu aimeras ton prochain comme toi-même, ou encore Aimez-vous les uns les autres comme je vous ai aimés. Car celui qui respecte ce commandement de l’amour ne peut pas faire du mal à son prochain.

Dans les colonnes de ce numéro de « Ma semaine au Sacré-Cœur», nous réalisons que nos CEVB sont actives ; notamment la CEVB saint François Xavier qui s’est résolue à consoler des malades internés à l’Hôpital de Référence de Kinshasa (Ex-Maman Yemo).

Voilà des exemples à suivre quand le Christ frappe à notre cœur et alors seulement il va y habiter et y demeurer.

Avançons donc au large sur le chemin du grand amour offert en sacrifice par Notre Seigneur Jésus-Christ

Père Crispin Mbala sj